La Comtesse de Ségur lui attribuait une Auberge
Publié par Michel Morvan le
La Comtesse de Ségur lui attribuait une Auberge… De quel être surnaturel s’agit-il ?
D’un ange gardien, bien sûr, dans son célèbre roman publié en 1863, L’Auberge de l’Ange gardien !
L’ange gardien est intemporel. Les mystiques chrétiens ont rapporté des interactions et conversations avec leurs anges gardiens, durant de nombreuses années. Et aujourd’hui encore, l’ange gardien a sa place dans l’Église catholique : le Pape François a rappelé récemment que, selon la tradition de l’Église, « nous avons tous un ange qui nous protège et nous fait sentir les choses ».
Dans son nouveau roman Maxime 24, douce agonie, fréville se plaît à revisiter ce mythe sans s’encombrer de précautions castratrices. Bien au contraire, il l’enrichit, le renouvelle, l’enlumine !
Télénovela de l’au-delà, Guide Vert illustré de l’outre-tombe, Maxime 24, douce agonie, treizième roman de fréville, sombre corps et âme dans la métaphysique en décrivant une vision ébouriffante de la vie après la mort, ou vice versa, une parmi tant d’autres. Entrecroisant géométrie, poésie, et réparation de photocopieuses, ce guide pratique prophétique inclassable martèle une seule conviction : tout part du détachement.